(S’) investir et lutter contre les inégalités sociales
Laura Emery a 29 ans et rêve de créer son entreprise sociale. Mais, pendant que ses plans murissent, elle préfère investir son argent dans des projets qui ont du sens à ses yeux, durables et respectueux de l’environnement.
Née à Anvers, Laura a grandi entourée de femmes de caractère. » Ma grand-mère et ma mère ont fondé ensemble une maison de repos. Très jeune, j’ai appris que prospérité et bien-être pouvaient aller de pair dans le secteur économique. » Laura poursuit un doctorat en sociologie et enseigne à temps partiel. Pendant son temps libre, elle joue dans un club de basket à Schaerbeek.
Éclosion de talents
Pour ses recherches universitaires, Laura se plonge dans l’univers des classes d’accueil de jeunes primo-arrivants. » Leur talent et leur potentiel certains ne se remarquent pas toujours. Un an, c’est trop court pour apprendre la langue, tout connaître du système scolaire et assimiler la société qui les accueille. Souvent, ils ont besoin d’une aide supplémentaire en enseignement classique, mais les moyens manquent. Seuls les plus forts arrivent à suivre. «
Grâce à ses recherches, Laura espère pouvoir aider les écoles à accompagner les jeunes de façon personnalisée. Elle désire également créer une entreprise sociale. » Étudier les inégalités structurelles change votre propre comportement dans la vie. J’ai envie de mettre en pratique ce que j’ai appris de façon très concrète. Je suis convaincue que les consommateurs détiennent un certain pouvoir qui augmente suivant le nombre croissant de personnes choisissant et achetant en connaissance de cause. «
La jeunesse investit dans l’avenir
C’est cette conviction qui l’a poussée à investir à la Banque Triodos. S’agissant d’investissement durable, on trouve actuellement de nombreuses nuances de vert sur le marché. » Mes parents ont travaillé dur pour gagner leur argent. Je veux donc l’utiliser de manière responsable. Mais je n’ai pas beaucoup de temps à y consacrer. C’est pourquoi je voulais une banque ne soutenant que des projets durables, et non pas une banque où ceux-ci ne représentent que 2 % des investissements, par exemple. Dans une banque qui défend ces valeurs, l’intention est d’emblée très différente que dans celles qui visent juste un marché. Pour intégrer des entreprises dans ses portefeuilles, Triodos place la barre très haut. De plus, Triodos prend le temps de tout expliquer en détail et de dresser votre profil d’investisseur. Cette transparence est importante à mes yeux. «
Laura est parfaitement consciente des risques liés aux investissements : » En effet, on doit être en mesure de se passer pendant tout un temps des moyens investis. Mais en tout état de cause, Triodos demeure l’un des choix les plus sûrs car les fonds investissent dans des entreprises adeptes de nouvelles initiatives et de solutions tournées vers demain. Aujourd’hui, investir dans le non-durable n’est, à mon sens, plus pertinent. En tant que jeune, on a plutôt envie d’investir dans l’avenir. «
(S’)investir de façon durable ?
Avec Triodos, vous allez plus loin.
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