Empêcher la transmission des virus par transfusion sanguine
L’un des aspects les plus importants de l’ensemble des normes applicables aux donneurs consiste en besoin de la sécurité transfusionnelle totale en matière de la présence des particules virales, notamment de l’hépatite et de V.I.H. Le bilan des études éffectuées par l’OMS a révélé une situation alarmante : une violation du protocole d’étude et d’analyse des résultats a été constatée en 35 pays du monde entier. Que ce soit la prise de sang des donneurs ou la réalisation de l’analyse complète et qualitative du biomatériau pris des donneurs, le sang des donneurs et ses composants ne sont pas tous examinés pour la présence des infections pathogènes. Globalement, la qualité des études est insuffisante dans un certain nombre de pays où les tests sont réalisés.
Les études et les analyses de résultats ne sont pas crédibles en raison des irrégularités de livraison de systèmes de test pour les analyses, des consommables, de l’utilisation hors limites des technologies et du matériel en fin de vie, du manque de personnel qualifié.
Le traitement antiviral constitue une priorité pour la santé publique mondialement. La prévention et la prophylaxie précoces des viroses revêtent une importance particulière. Il faut reconnaître que le diagnostic pour déceler la présence virale dans le sang des donneurs et dans ses composants, plus précisément la composition virale quantitative et qualitative, doit être déterminée avec une grande précision, afin d’exclure les résultats d’analyse faux positifs et faux négatifs.
Les méthodes de diagnostic utilisées en système de santé publique pour déceler les virus ne s’avèrent pas d’être toujours exactes : parfois, les résultats des tests ne sont pas fiables en ce qui concerne la présence des virus et l’estimation de leur viabilité dans le sang des donneurs, par exemple.
Plusieurs facteurs en sont la cause :
– imperfection des méthodes qui entraînent elles-mêmes des erreurs en résultats d’analyses
– incapacité de ces méthodes à reconnaître les virus à bas titres de la charge virale
– incapacité des méthodes à évaluer l’effet nocif des virus, c’est-à-dire leur viabilité
– violation du règlement pour la réalisation des analyses, y compris les conditions de leur réalisation, et bien d’autres
Il est certain que le donneur peut être porteur du virus, mais son sang ne contient pas d’antigène et d’anticorps pendant le délai de séroconversion (la fenêtre sérologique).
Le risque de la transfusion sanguine du plasma et de ses composants contaminés par le virus au receveur n’est pas exclu.
Les virus se caractérisent par leurs propriétés lymphotropes, plus précisément par la capacité de pénétrer et de persister aux lymphocytes d’une personne saine. Les méthodes innovantes pour identifier les virus et évaluer leur viabilité, la méthode pour inactiver l’ARN et l’ADN contenant des virus (COVID-19 est également un l’ARN contenant un virus), y compris les virus de l’hépatite B, C et le V.I.H., le virus de la grippe, la fièvre hémorragique (de groupe d’Ebola) qui possèdent des propriétés lymphotropes, ainsi que l’inactivation, autrement dit la neutralisation des bactéries, des endospores et champignons sont mises au point et fondées sur les travaux scientifiques, expérimentaux et l’étude menée par New Medical Technologies, en collaboration avec les scientifiques de l’Institut d’épidémiologie et de microbiologie d’Ouzbékistan (UZNIIEMIZ).
Ovik Mkrtchyan, le fondateur de New Medical Technologies, raconte : » nous avons constaté que les particules virales ont été détectées en testant notre méthode de l’étude au sein du Centre républicain de la transfusion sanguine d’Ouzbékistan en 18 % des échantillons prélevés à l’aide des méthodes traditionnelles d’analyse, soit la méthode immuno-enzymatique et la méthode de réaction en chaîne par polymérase. Bilan : les anciennes méthodes ne sont pas suffisamment efficaces, le risque de la transmission de maladies dangereuses d’un donneur au patient est réel « .
La méthode de détection des virus aux lymphocytes du sang des donneurs a été mise au point pendant plusieurs années et constitue la première étude réalisée dans ce domaine. Les travaux n’ont malheureusement pas donné lieu à une technique clairement définie bien qu’ils aient déjà été réalisés par des scientifiques japonais, par exemple. » Pour la première fois, nous avons développé un algorithme exact d’analyse du sang des donneurs. Par conséquent, le nouveau moyen de déterminer les virus viables ayant le lymphotropisme a été développé « , explique Ovik Mkrtchyan.
La société New Medical Technologies a élaboré et breveté les méthodes innovantes : » la méthode d’exclure des résultats faux négatifs chez les donneurs lors de l’analyse sanguine sur la présence de l’infection virale de l’hépatite HBV, HCV et du virus de l’immunodéficience humaine, CANCER DU COL « , » la méthode d’évaluer la viabilité des virus lymphotropes » et » la méthode de détection des virus lymphotropes en milieux biologiques lorsque la charge virale est en dessous du seuil de sensibilité de la méthode de réaction en chaîne par polymérase « . » Les brevets délivrés par les offices de brevets des États-Unis, l’Eurasie, l’Europe, l’Ouzbékistan, ARIPO (l’autorité africaine des brevets), ainsi que par les autorités de brevets des pays comme la Chine, Israël, E.A.U., la République sud-africaine : il s’agit de la reconnaissance de nos réalisations par les inventions ; les procédés que nous avons créés sont vraiment innovants et de grande efficacité. Ces inventions représentent une percée et une étape décisive pour rendre sécuritaires les normes de rapports avec les donneurs, notamment, avec les receveurs. Le procédé de détection et d’évaluation de la vitalité des virus lymphotropes que nous avons conçu est sans égales » , note Ovik Mkrtchyan.
L’avantage des méthodes innovantes consiste également à ne pas avoir besoin d’acheter de nouveaux équipements pour les utiliser en pratique et ce qui est utilisé en chaque laboratoire de diagnostic PCR suffit bien. Les méthodes sont simples et les médecins de laboratoire PCR, peuvent facilement utiliser les méthodes développées expérimentalement, après avoir consulté la notice explicative pour réaliser les études et analyser leurs résultats, sans suivre une longue formation spécialisée et sans procéder aux consultations en face à face.
Un autre domaine d’application des technologies innovantes de New Medical Technologies est la décontamination des instruments médicaux, d’autres objets et surfaces. Ovik Mkrtchyan explique : » Il existe un certain nombre d’instruments médicaux qui ne peuvent pas être exposés à des températures élevées et à des produits chimiques puissants. Ces instruments sont utilisés en dentisterie, chirurgie, gynécologie et cosmétologie. En conséquence, le patient risque d’être infecté par des maladies infectieuses d’hémocontact, par des virus contenus dans ARN et ADN (à noter que COVID — 19 est un ARN contenant un virus), par des bactéries, spores et champignons « .
Pour résoudre ce problème, la société New Medical Technologies a spécialement créé une installation utilisant la méthode photodynamique de décontamination à l’aide du bleu de méthylène comme photosensibilisateur (stérilisant). La méthode photodynamique est utilisée à long terme en médecine, pour le traitement des maladies en oncologie, dentisterie, gynécologie, urologie, ophtalmologie, maladies respiratoires et de la gorge, traitement des maladies cutanées, en cosmétologie et diagnostic de différentes maladies. Les brevets sont actuellement délivrés aux États-Unis, en Eurasie, Chine.
La fiabilité et l’efficacité de la méthode photodynamique ne nécessitent d’aucune preuve. La méthode est largement connue et utilisée aux pays tels que les États-Unis, la Russie, l’Allemagne, la France, l’Inde et bien d’autres.
Lors de la photoactivation du bleu de méthylène, la solution produit de l’oxygène singulet, un grand nombre de radicaux d’oxygène inactivent les molécules d’ARN et d’ADN viraux, en les détachant d’acides nucléiques et en attachant les molécules de bleu de méthylène à leur place. Cette méthode ne présente pas de défauts, comparée à d’autres méthodes de stérilisation : à la vapeur ou à l’air, stérilisation par l’oxyde d’éthylène à 100 %, par vapeurs de peroxyde d’hydrogène, vapeurs de formaldéhyde.
L’équipement de stérilisation de la société n’est pas directement comparable aux produits similaires, a été hautement apprécié par des professionnels réputés et des autorités compétentes, a été recommandé pour l’utilisation en médecine et en secteur tertiaire. L’inactivation des virus prend environ 60 à 90 minutes. Également, les installations fonctionnant en mode automatique et semi-automatique, avec des caméras actives de différente taille, aussi bien des caméras de bureau ou des grandes caméras qui permettent de télécharger un grand nombre d’outils pour la commodité des établissements de soins. Les installations de stérilisation de New Medical Technologies sont parfaitement sûres pour le personnel et l’environnement, sans effet toxique ou sans réactions allergiques.
Le professeur Nariman Gouliamov, docteur en médecine, est convaincu que la propagation des maladies virales représente un problème mondial. » Les viroses chroniques sont mal traitables et leur prophylaxie est extrêmement importante. Toute manipulation liée à la détérioration de la structure de l’épiderme représente un risque, conséquemment la stérilisation des instruments médicaux est privilégiée. Les produits de New Medical Technologies vous permettent d’y parvenir de manière fiable et sécuritaire « , a dit le professeur N.G. Gouliamov.
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