Des licences de logiciels périmées
La députée Sophie De Wit (N-VA) cite le cas d’un dossier judiciaire reporté parce que les avocats des suspects n’avaient pas pu consulter le dossier, ou pas dans son intégralité, dossier qui n’était consultable que sur un ordinateur vétuste dont la licence logicielle était périmée. Le ministre de la Justice, Vincent Van Quickenborne (Open VLD), a bien dû l’admettre: «Lors de mon entrée en fonction (NDLR: en octobre 2020), une grande partie du personnel ne disposait pas encore d’un ordinateur ou utilisait encore Windows 95 et Office 7, un programme mis hors service au début de cette année. Entre-temps, nous avons déjà acheté plus de 10 000 ordinateurs. Des progrès sont donc enfin réalisés.» Le ministre dit, par ailleurs, souhaiter investir 137 millions de fonds européens dans la numérisation de la Justice.
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