18
mois après le début de sa détention, la santé de la journaliste chinoise Huang Xueqin se détériore. Selon l’ONG Front Line Defenders, elle souffrirait d’un dérèglement hormonal, de carences, de stress et subit une privation de sommeil. Figure de MeToo en Chine, elle est incarcérée pour «incitation à la subversion du pouvoir de l’Etat».
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