Dix anecdotes sur l’Assemblée générale de l’ONU (en images)
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Eh oui, même à l’ONU, certaines présentations PowerPoint refusent de se lancer, comme lors du débat sur l’égalité des genres présidé par la Reine Mathilde. Ce qui n’a toutefois pas entamé son calme légendaire, ni celui du ministre de la Coopération au Développement, Alexander De Croo, quand même un peu plus circonspect à ses côtés.
Le siège de l’ONU est un véritable dédale. Un vrai jeu du chat et de la souris avec le Premier ministre et sa délégation pour assister aux débriefings de presse. Le hall principal du siège de l’ONU dont la construction principale a commencé en 1947, a un côté assez désuet.
Les mesures de sécurité ne semblent pas toujours très logiques. Alors que l’on doit être escorté pour accéder à l’Assemblée générale, pour en ressortir, aucune escort n’est organisée et on se retrouve seul dans les couloirs (parfois désertiques et décrépis) du bâtiment.
Emmanuel Macron s’est fâché (très) fort lors de son discours devant les délégués de l’Assemblée. Il a même frappé du poing l’imposant pupitre.
Au détour d’un couloir, on frôle Erdogan, l’air grave et très bien escorté qui essaie d’échapper en montant dans un ascenseur aux journalistes qui le traquent.
On a parcouru plus de 10 kilomètres à pied par jour, tant pour accéder chaque matin au siège gardé par une armada de policiers que dans le bâtiment même et ses alentours pour couvrir les différentes interventions et débats.
Mardi matin, la pluie a forcé de nombreux diplomates à se retrouver en chaussettes, les pieds détrempés par la pluie battante. Dans le centre de presse, on a même vu un journaliste vaporiser du déo dans ses chaussures, élégant…
En parlant de chaussures, on a surpris la ministre de la Santé belge Maggie De Block en changer dans un recoin du hall principal avant de repartir dans les rues de Manhattan.
Sur les sièges de l’Assemblée générale, il n’est pas rare de voir des diplomates piquer un petit somme. Trop soporifique le discours?
Dans les couloirs, en attendant le discours de Donald Trump, les journalistes aussi tentent de se remettre du décalage horaire ou font quelques étirements.
La Première ministre néo-zélandaise a attendri toute l’Assemblée en venant avec son bébé de 4 mois et en le confiant à son mari pendant son allocution.
Alors que le temps imparti pour les discours des chefs d’Etat est de maximum 15 minutes avec la consigne claire de ne pas parler trop vite pour éviter des traductions au lance-pierre, celui de la présidente de la Lituanie, Dalia Grybauskaite, a pris seulement cinq minutes. Le Vénézuélien Nicolas Maduro a tenu, lui, le crachoir pendant 50 minutes et le chef de la diplomatie chinoise Wang Yi avait un débit vertigineux, qui a donné des sueurs aux interprètes.
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