Une centaine de personnes à la gare de Bruxelles-Central pour un flashmob
Plus de cent personnes ont pris part à un flashmob organisé samedi dans la gare de Bruxelles-Central par le collectif « Still Standing for Culture », qui réunit des travailleurs de la culture de toute la Belgique. De la musique était jouée par un groupe dans la gare et les participants dansaient dans le hall principal et l’escalier.
L’ambiance était bon enfant. Bon nombre de participants ne respectaient pas les mesures de distance nécessaires, ni l’obligation du port de masque. Des gens de tout âge étaient présents, notamment des familles avec de jeunes enfants. La foule a quitté la gare après un quart d’heure.
https://twitter.com/gilles92/status/1388427401110114306Gilles🇧🇪✝️https://twitter.com/gilles92
Flashmob – Brussel centraal – bruxelles centrale pic.twitter.com/m8bFtd4sI7
— Gilles🇧🇪✝️ (@gilles92) May 1, 2021
Vous pouvez modifier vos choix à tout moment en cliquant sur « Paramètres des cookies » en bas du site.
550rich3153600000Twitterhttps://twitter.com1.0
« Still Standing for Culture » rassemble plus de 90 acteurs du secteur. Le collectif organisera des spectacles en public pendant neuf jours, dans le respect des mesures sanitaires.
L’action n’avait pas de lien avec l’événement La Boum 2, qui doit se tenir à 16h00 dans le bois de la Cambre à Bruxelles, mais de nombreux participants avaient cependant annoncé sur les réseaux sociaux qu’ils prendraient également part au flashmob. (
Un message protestataire diffusé sur le Palais de Justice de Bruxelles
Des messages protestataires ont été diffusés vendredi soir sur la façade du Palais de Justice et sur la Porte de Hal à Bruxelles, ont indiqué plusieurs médias. L’information a été confirmée par la police de Bruxelles qui a dressé plusieurs procès-verbaux.
Il s’agissait d’une action menée par Wake Up Belgium, qui entendait envoyer un message aux autorités belges. On pouvait notamment lire dans ses messages en images la phrase « vous serez jugés ici », accompagnée d’un noeud coulant symbolisant la pendaison. Les activistes reprochent aux responsables politiques « un manque de raison », « de l’incompétence », et « des lois répressives ». Le groupe exige de « remettre l’humain au centre et non les chiffres ». La police a identifié les manifestants et des PV ont été rédigés.