Vincent Van Quickenborne pipigate
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Affaire du «pipigate»: Vincent Van Quickenborne ne sera pas poursuivi

Il n’y aura pas de poursuites judiciaires à l’encontre de Vincent Van Quickenborne, dans le cadre de l’affaire du «pipigate».

Aucune poursuite judiciaire ne sera engagée à l’encontre de Vincent Van Quickenborne dans l’affaire dite du « pipigate« , faute de preuves attestant d’infractions pénales, annonce, mardi, le parquet de Flandre occidentale. Les deux autres individus qui avaient uriné contre le véhicule de police bénéficieront d’un règlement à l’amiable.

Les faits remontent au 14 août 2023, lors de la célébration du 50e anniversaire de l’ancien ministre de la Justice. Plusieurs invités avaient été filmés en train d’uriner sur un véhicule de police, stationné devant le domicile, dans le cadre du dispositif de protection du ministre, qui faisait l’objet de menaces. Des images de caméras de surveillance semblaient montrer M. Van Quickenborne effectuant des « gestes simulant la miction » quelques heures après les faits, ce qu’il a toujours nié, affirmant ne pas avoir eu connaissance des agissements de ses invités.

Les deux individus de 50 et 52 ans impliqués dans l’incident bénéficieront d’un règlement à l’amiable. Ils devront s’acquitter d’une amende de 1.250 euros chacun, ainsi que d’un euro symbolique de dommages et intérêts aux policiers concernés. Ils prendront également en charge les frais de nettoyage du véhicule de police de la zone Vlas (Courtrai-Kuurne-Lendelede). L’affaire ne sera donc pas portée devant le tribunal.

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