Quand Sophie Wilmès était au « Seize » par Vadot
Sophie Wilmès a passé onze mois au 16, rue de la Loi. D’abord comme Première ministre en affaires courantes – à la suite du départ de Charles Michel pour le Conseil européen – en attendant la formation d’un gouvernement de plein exercice. Mais les partis ne parvenant pas à se mettre d’accord, c’est elle qui a dû gérer la crise du coronavirus, le confinement, la « haie du déshonneur » des personnels soignants, la question des masques, la pression des experts, avant d’être aux premières loges pour assister aux profonds tiraillements au sein des partis politiques, notamment le sien, où son bouillant président Georges-Louis Bouchez s’est montré souvent ingérable. Retour sur une période courte mais dense, qui restera dans l’histoire.
26 mars 2020 : Sophie Wilmès est très populaire.
9 avril 2020 : Wilmès et De Block, les deux visages politiques de la crise sanitaire.
23 avril 2020 : La cote de popularité de la Première ministre commence à baisser.
14 mai 2020 : Conseil de sécurité dédié aux mesures de déconfinement.
24 septembre 2020 : Georges-Louis Bouchez fait capoter les négociations politiques, avant d’opérer une courbe rentrante.
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