Carte blanche | Victoire Ingabire Umuhoza "Si Kagame est si populaire, pourquoi ses adversaires crédibles ne peuvent-ils pas se présenter contre lui aux élections?"
Carte blanche | Victoire Ingabire Umuhoza Rwanda: la seule représentation des femmes au Parlement est insuffisante pour leur émancipation
Carte blanche | Victoire Ingabire Umuhoza Sans réformes politiques, les Rwandais continueront de chercher refuge à l'étranger (carte blanche)
Carte blanche | Victoire Ingabire Umuhoza Le Rwanda doit résoudre ses problèmes politiques internes avant d'accueillir des réfugiés (carte blanche)
Opinion | Victoire Ingabire Umuhoza Reconsidérer une approche non militaire de la résolution des conflits dans l'est de la RDC (carte blanche)
Opinion | Victoire Ingabire Umuhoza Opinion | Victoire Ingabire Umuhoza Rwanda: les domaines clés où le développement économique n'a pas réussi (carte blanche) "La réforme de la gouvernance par le dialogue est l'aspect le plus vital capable de provoquer le changement dans les domaines clés au Rwanda", estime Victoire Ingabire Umuhoza, opposante au gouvernement rwandais.
Opinion | Victoire Ingabire Umuhoza Opinion | Victoire Ingabire Umuhoza "Tous les pays membres de l'ONU ont une dette morale envers les peuples de la région des Grands Lacs d'Afrique" La Journée des droits de l'homme est célébrée chaque année le 10 décembre, jour anniversaire de l'adoption en 1948 par l'Assemblée générale des Nations Unies de la Déclaration universelle des droits de l'homme. Ce 10 décembre 2021, les habitants de la région des Grands Lacs, dont je fais partie, et tous ceux qui s'intéressent à la situation politique de cette région, sont en droit de se demander si ce jour a la même signification que celle qu'il avait le 10 décembre 1948.
Opinion | Victoire Ingabire Umuhoza Opinion | Victoire Ingabire Umuhoza Pour un nouveau dialogue inter-rwandais (carte blanche) Depuis que le Rwanda a obtenu son indépendance en 1962, la population a connu des régimes successifs qui se maintiennent au pouvoir par tous les moyens et sans intégrer les principes de bonne gouvernance dans leurs programmes politiques. Les répercussions ont toujours été les mêmes : violations des droits de l'homme, les massacres qui ont culminé dans le génocide des Tutsi en 1994. Une carte blanche de Victoire Ingabire Umuhoza, présidente du parti d'opposition Dalfa-Umurinzi.