Connue (hum) pour sa « Sacrée paire », Mélanie Geelkens n’a pas toujours écrit sur l’égalité des genres. Son premier article, paru en 2010 après ses études en journalisme à l’ULiège, portait sur… les dépôts clandestins d’immondices à Fléron. En bonne freelance tout-terrain, elle a ensuite rédigé durant six ans sur de nombreuses thématiques (l’économie au Soir, chez Trends-Tendances et, un peu, à L’Echo), l’actualité liégeoise (Le Soir Liège et Belga), la politique et la société (au Vif, déjà)… En 2016, son statut change lorsqu’elle est embauchée au Vif/L’Express, mais pas ses aptitudes tout-terrain, manœuvrant de sujets société en articles politiques, et pilotant – depuis 2019 – cette fameuse (hum) « Sacrée paire », chronique hebdomadaire qui traque avec autant d’acidité que d’humour les inégalités entre les hommes et les femmes. En 2022, elle a reçu le prix de la presse Belfius pour son enquête sur les frères Gottschalk, l’histoire d’une très probable erreur judiciaire (ça change des immondices fléronnais). Depuis 2021, elle est responsable éditoriale du site du Vif, ce qui l’amène à moins prendre la plume, sauf pour sa « Sacrée paire ».
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